7 janvier 2010
4
07
/01
/janvier
/2010
06:17
Aigle d'or provient du modeste stock de
bd "petit-format que Grand-Sachem-la-Brocante tri quand arrivent les frimas d'hiver.
Sur la Grande-Toile Grand Sachem ne trouve que ces maigres renseignements :
"Aigle d'or est une bande dessinée petit format qui parût en deux séries :
35 numéros en 13 × 18 cm, éditeur SFPI à la fin des années 1950.
16 numéros en 13 × 18 cm, éditeur SFPI à partir de 1970.
On y trouve des récits d'Aigle d'or, un indien, qui font suite au « Gazelle blanche » de la Sagédition de 1949-1950".
Cette bd qui n'a pas laissé beaucoup de traces dans les mémoires, est effectivement assez insignifiante et ne mérite pas qu'on s'y attarde plus.
Pourquoi donc ne pas évoquer....les flèches des indiens...vous savez celles que John Wayne s'arrache tout seul de l'épaule en serrant les dents...
"Les flèches souvent longues de 60 cm étaient faites chez les indiens des plaines, d'un bois dur. A l'origine, leurs pointes - qu'on retrouve en grand nombre dans certaines sépultures,- étaient taillées, par éclats, dans un fragment de quartz ou de silex. Certaines étaient en os. Plus tard, quand le cuivre fut employé, on les tira de ce métal. Enfin, on les fit en fer, que les indiens se procurèrent au début en découpant les cercles de barils apportés par les visages-pâles!
De ces pointes, les unes étaient pourvues de barbes, à un ou deux rangs, dirigé vers l'arrière. On les employait dans la guerre. La pointe était alors fixée de façon à se détacher facilement du bois lorsque l'ennemi essayait de l'arracher, de manière qu'elle demeurât seule dans la blessure, rendue ainsi plus redoutable.
Pour la chasse, au contraire la pointe était solidement attachée, sans barbe, et, autant que possible, incassable. Cela permettait de la retirer sans difficulté de la plaie et de s'en resservir à l'occasion." (D'après René Thevenin et Paul Coze).
Grand-Sachem en conclu donc que le frère dont l'image illustre ce fascicule est à la chasse et qu'il a mit sa coiffe pour se
camoufler parmi les dindons! ;-)
Sur la Grande-Toile Grand Sachem ne trouve que ces maigres renseignements :
"Aigle d'or est une bande dessinée petit format qui parût en deux séries :
35 numéros en 13 × 18 cm, éditeur SFPI à la fin des années 1950.
16 numéros en 13 × 18 cm, éditeur SFPI à partir de 1970.
On y trouve des récits d'Aigle d'or, un indien, qui font suite au « Gazelle blanche » de la Sagédition de 1949-1950".
Cette bd qui n'a pas laissé beaucoup de traces dans les mémoires, est effectivement assez insignifiante et ne mérite pas qu'on s'y attarde plus.
Pourquoi donc ne pas évoquer....les flèches des indiens...vous savez celles que John Wayne s'arrache tout seul de l'épaule en serrant les dents...
"Les flèches souvent longues de 60 cm étaient faites chez les indiens des plaines, d'un bois dur. A l'origine, leurs pointes - qu'on retrouve en grand nombre dans certaines sépultures,- étaient taillées, par éclats, dans un fragment de quartz ou de silex. Certaines étaient en os. Plus tard, quand le cuivre fut employé, on les tira de ce métal. Enfin, on les fit en fer, que les indiens se procurèrent au début en découpant les cercles de barils apportés par les visages-pâles!
De ces pointes, les unes étaient pourvues de barbes, à un ou deux rangs, dirigé vers l'arrière. On les employait dans la guerre. La pointe était alors fixée de façon à se détacher facilement du bois lorsque l'ennemi essayait de l'arracher, de manière qu'elle demeurât seule dans la blessure, rendue ainsi plus redoutable.
Pour la chasse, au contraire la pointe était solidement attachée, sans barbe, et, autant que possible, incassable. Cela permettait de la retirer sans difficulté de la plaie et de s'en resservir à l'occasion." (D'après René Thevenin et Paul Coze).
Grand-Sachem en conclu donc que le frère dont l'image illustre ce fascicule est à la chasse et qu'il a mit sa coiffe pour se
camoufler parmi les dindons! ;-)