Christian GRENIER vit à Fleix (24). Il quitte son travail de professeur pour devenir vacataire à l'université et y enseigner (occasionnellement) la science-fiction. II travaille
régulièrement en tant que collaborateur littéraire et alterne selon ses choix ou besoins, l'enseignement, l'écriture et les conférences. Aujourd'hui il est
connu pour avoir publié de nombreux ouvrages de science-fiction qui ont été reconnu dans le monde littéraire.
Né en 1923, d'une Européenne et d'un Iroquois, William Camus fut élevé "à l'indienne" au Canada, où son père tenait un commerce de peaux. De son enfance il a trouvé
matière pour un roman autobiographique que Grand-Sachem-la-Brocante avait beaucoup aimé. Vers l'âge de douze ans,
il ignorait presque tout du français quand sa mère le rappela en France, ce qui ne facilita pas ses études. L'aventure, après-guerre, lui en apprit d'avantage : il fut pilote de stock-car aux
Etats-Unis et ailleurs, puis journaliste et défenseur de la cause indienne. Vers 1960, il se mit à écrire pour les jeunes : histoire, humour, science-fiction; plus de vingt-cinq récits qui
reflètent la diversité de ses expériences.
Ensembles, ils ont collaboré pour écrire ce roman de science-fiction mettant en scène des cheyennes, suite de "Cheyennes 6112".
Jacques Rozier et Monique Gaudriault sont illustrateurs.Ils ont suivi les cours de l'Ecole des Métiers d'Art et travaillent ensemble à l'illustration de livres pour
enfants.Ils sont auteurs de cette couverture.
Bruno Pilorget est né en mars 1957 à Vannes. Après avoir étudié pendant deux ans aux Beaux-Arts de Lorient il se lance en autodidacte dans l'illustration. Il débute
chez Gallimard en 1981 et illustre plus d'une centaine de romans, contes et albums chez différents éditeurs. C'est lui qui a créé la douzaine d'illustrations de cet ouvrage.
Ce roman a donc mobilisé cinq artistes pour sa création et son édition !
Après avoir contribué à enrayer la Grande Épidémie qui menaçait d'anéantir les habitants des cités du futur, les Cheyennes doivent maintenant apprendre aux " Tsits
", les survivants qui les ont rejoints, à vivre comme eux en pleine nature. Cependant, la cité n'a pas été entièrement désertée: redoutant d'affronter un monde extérieur dont ils ignorent tout,
certains "Bulliens" ont refusé de quitter l'abri des dômes d'énergie, et Réséda, Longues-Jambes et leurs amis vont bientôt découvrir que le chef de ces irréductibles leur voue une haine
farouche...au final après avoir détruit la "cité" les survivants recréeront une société associant Cheyennes, Tsits, rescapés de la citée et même des arrivants d'autres "bulles" sur d'autres
continents.
"Reseda", la squaw à l'honneur sur cette couverture donnera naissance, au propre comme au figuré, à l'espoir d'un humanité nouvelle.
Grand-Sachem-la-Brocante a trouvé ce petit bouquin au dépôt-vente de Mirepoix en Ariège mais maintenant qu'il a lu Grand-Sachem se dit qu'il aurait du attendre de
lire la première partie....ce serait quand même plus logique!