13 mars 2010
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07:00
Autour de ce sapin de Noêl dansent les fillettes du monde: une asiatique, une africaine, une européenne et une jeune squaw. Si vous regardez bien vous
comprenez qu'il faut forcement un cinquième fillette derrière le sapin pour que la ronde soit complète: il s'agit de Tam-Ka la jeune esquimau que Grand-Sachem a déjà accueillie au sein de la tribu la-Brocante (vous le savez maintenant la
tribu la-Brocante s'est ouverte aux braves et aux squaws du grand-nord)
Les Amérindiens ont baptisé «robes noires» les missionnaires catholiques venus les évangéliser, à cause de la couleur de leur soutane. Ces hommes parfois éduqués, braves et audacieux voyageaient souvent sans leurs compatriotes, dans des régions très éloignées. Leur objectif n'était pas l'exploration, mais l'évangélisation.
Les comptes rendus de leurs voyages, utiles à la promotion des missions, servaient aussi à obtenir des dons en décrivant les «nouveaux» peuples à évangéliser, tout en informant les administrateurs de la colonie des événements survenus dans les Pays-d'en-Haut. La connaissance de la géographie canadienne qu'ont acquise les missionnaires et les renseignements qu'ils obtenaient des Amérindiens ont servi souvent aux autres explorateurs.
Grand-sachem, à l'occasion d'un précédant article, vous a déjà présenté "Lisette" cet hebdomadaire mythique qui a été édité plus de 50 ans.
Ce n° de "Lisette" du 28 décembre 1947 consacré au "Noël autour du monde" contient une nouvelle narrant l'histoire vécue par un "robe noire" installé dans une tribu du grand nord. Une belle histoire de noël, pas trop mièvre et qui explique assez bien comment les esquimaux s'accommodèrent de la religion chrétienne avec leur religion ancestrale.
Les Amérindiens ont baptisé «robes noires» les missionnaires catholiques venus les évangéliser, à cause de la couleur de leur soutane. Ces hommes parfois éduqués, braves et audacieux voyageaient souvent sans leurs compatriotes, dans des régions très éloignées. Leur objectif n'était pas l'exploration, mais l'évangélisation.
Les comptes rendus de leurs voyages, utiles à la promotion des missions, servaient aussi à obtenir des dons en décrivant les «nouveaux» peuples à évangéliser, tout en informant les administrateurs de la colonie des événements survenus dans les Pays-d'en-Haut. La connaissance de la géographie canadienne qu'ont acquise les missionnaires et les renseignements qu'ils obtenaient des Amérindiens ont servi souvent aux autres explorateurs.
Grand-sachem, à l'occasion d'un précédant article, vous a déjà présenté "Lisette" cet hebdomadaire mythique qui a été édité plus de 50 ans.
Ce n° de "Lisette" du 28 décembre 1947 consacré au "Noël autour du monde" contient une nouvelle narrant l'histoire vécue par un "robe noire" installé dans une tribu du grand nord. Une belle histoire de noël, pas trop mièvre et qui explique assez bien comment les esquimaux s'accommodèrent de la religion chrétienne avec leur religion ancestrale.